La Bienveillance en Archipels, c’est quoi ?
La Bienveillance en Archipels, c’est une grande vague qui relie nos îles intérieures.
C’est une initiative citoyenne ouverte, collaborative et décentralisée.
Partout, des femmes et des hommes choisissent de prendre soin les uns des autres : ce sont nos îles de bienveillance.
Ensemble, elles grandissent, s’imbriquent et essaiment, créant un archipel vivant.
Je t’invite à plonger avec moi, avec nous, à comprendre, ressentir et agir pour que nos territoires deviennent des espaces de lien, de soin et de vitalité.
La Bienveillance en Archipels est une initiative citoyenne ouverte, collaborative et décentralisée.
Elle relie des îles de bienveillance pour en favoriser la croissance, l’interconnexion et l’essaimage.
Son objectif : soutenir la mise en réseau d’acteurs qui prennent soin des personnes, des collectifs et des territoires.
Elle propose à chacun·e de comprendre, de prendre conscience et d’agir, dans un cercle vertueux, et de faire émerger des territoires interconnectés de lien, de soin et de vitalité.
Je t’invite à rejoindre cette inspirante initiative et à contribuer avec nous à construire une société où la bienveillance devient une force collective.
Nous tenons à apporter une précision importante pour cerner justement notre initiative citoyenne :
La Bienveillance en Archipels n’est rattachée à aucun parti ni à aucune idéologie.
C’est une initiative citoyenne ouverte et collaborative, qui accueille toutes celles et ceux qui veulent tisser du lien et prendre soin des autres et du vivant.
Nos valeurs — bienveillance, respect, solidarité, coopération, non-violence — peuvent parfois entrer en tension, voire sembler incompatibles avec certaines doctrines ou pratiques partisanes fondées sur l’exclusion, la stigmatisation ou la destruction.
Ce n’est pas un choix de camp, mais une exigence de cohérence avec l’esprit même de la bienveillance.
Par ailleurs, notre initiative comporte aussi une dimension militante : car la bienveillance, ce n’est pas seulement faire du bien et éviter de faire du mal, c’est aussi assumer sa responsabilité d’alerter, de dénoncer et d’intervenir face à la malveillance — qu’il s’agisse notamment de non-assistance à personne en danger ou de non-assistance à planète en danger.